p. 5: Bio à DD (gradable)



dd piti

Suite à une erreur de jeunesse extrêmement précoce, Didier Deléglise naît en région Parisienne en 1958…
… Il nait précisément le 3 juillet 1958 à 12H30, à Soisy sur Seine, à l’époque plaque tournante du traffic de carambars et de roudoudous.

Enfance
Il passe une enfance paisible dans ce charmant village niché entre Seine et forêt de Sénart, et entame une scolarité sans histoire, hormis une tentative d’assassinat de son instituteur de cours préparatoire, qui lui fait une remarque sur son bavardage incessant.

Il sort libre et blanchi du tribunal, moyennant une caution de 20000000 d’anciens francs, remise par ses parents désespérés, et désormais fichés à la banque de France.

La grande école
D’un naturel aventureux et nesupportant plus la non mixité, il quitte l’école communale dès 10 ans, et prend l’autobus pour le collège d’Evry, charmant village niché entre Seine et forêt de Sénart, mais à 3 kms. L’anarchisme militant, hérité de son père, dont il fait incessament preuve et la jalousie suscitée par “ses ailes d’Albabros géant qui l’empêchent de marcher”, comme il aime à le dire, le font exclure de l’établissement. Simultanément il entre dans le ‘Guiness Book of records’, pour une performance non encore égalée à ce jour, de 2H de colle par heure de cours, en moyenne corrigée des variations saisonnières.
Il quitte donc le collège des 12 ans, en fourgon blindé sous le tir nourri des quelques professeurs qui n’ont pas sombré dans la dépression nerveuse.
Afin de le remettre dans le droit chemin et accessoirement lui entrer la religion dans le crane à coup de bottes dans les fesses, ses parents l’inscrivent en école catholique privée au lycée St Charles Boromée, d’Athis mons charmant village niché entre Gare de Juvisy et Aéroport d’Orly. Invité à plusieurs reprises dans l’alcôve du père supérieur, Nazi notoire ayant demandé l’asile politique au préfet de l’Essonne, il apprend à ses dépends ce que sévice militaire veut dire et devient secrètement objecteur de conscience. La torture aidant, il se passionne successivement pour la géopolitique (seconde B), l’épistémologie (première C) et le naturisme (terminale D). Il obtient son bac en 1977, messes et prières hebdomadaires obligatoires en la chapelle St Charles, ayant finalement porté leurs fruits.

La fac
Fort de ses miraculeux résultats, il débute à Paris VI-Jussieu un cursus Universitaire complexe qui inspire au mathématicien René Thom sa fameuse ‘théorie du Chaos’ et à Roland Moreno celle du ‘bordel ambiant. Après 3 années de couscous au restaurant universitiare de Censier-maubenton, et autant de cours de flipper au Jean bart, bistrot annexe de l’Université. Il échoue au Deug de Sciences des structures et de la matière, et de colère part visiter les états Unis avec ses compagnons d’infortune.

L’informatique
De retour dans son pays natal, il fait un pélerinage au lycée d’Evry où il découvre l’électronique. Lors de sa première et redoutée expérience professionnelle dans une petite usine des Ulis, il découvre le micro ordinateur, objet mystérieux de la taille d’une machine à laver, dégageant autant de chaleur qu’une centrale nucléaire russe, et d’une capacité de calcul qui ferait sourire un téléphone portable. Hypnotisé par l’engin, et plus particulièrement par son écran monochrome vert fortement rémanent, il sombre dans l’informatique et ses paradis virtuels.
II goûte au PC tout juste inventé par IBM, au poison de la Digital (Equipment Corporation), au cake au SGBD, et devient rapidement Web dépendant. Il fait partager ses délires dans écoles et universités Parisiennes, à des étudiants incrédules. La plupart de ses exactions sont mises en ligne et peuvent être consultées sur son site Internet technique : http://didier.deleglise.free.fr .
Cela durera plus de deux décennies. Dans les années 90, alors Oracle dans la compagnie américaine éponyme, il profite d’un passage d’oies sauvages pour migrer vers le Sud et s’installer en Provence.


L’art…enfin

nu
Depuis 2002, il tente avec courage de se réinsérer, et suit les cours de Gilles Traquini (respect) à l’Ecole Supérieure des Beaux Arts de Marseille. Résidant et amoureux des Goudes, il réalise une série de croquis du petit village de pêcheurs, première série de son vaste projet d’étude de Marseille plurielle et ses quartiers singuliers